lundi 5 juin 2017

BREEDERS

                                                           Photo empruntée sur Google, appartenant au site avaxhome.unblocker.xyz

de Tim Kincaid. 1985. U.S.A. 1h17. Avec Teresa Yvon Farle, Lance Lewman, Frances Raines, Natalie O'Connell, Amy Brentano, LeeAnne Baker, Matt Mitler

Sortie salles U.S: Mai 86

FILMOGRAPHIE SELECTIVE: Tim Kincaid est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur américain né le 2 Juillet 1944 à Santa Barbara, California, USA. 2015: Dad Out West (Video).  2008/I Chainsaw (Video). 2008 Mens Room III: Ozark Mtn. Exit 8 (Video). 2008 Home Invasion (Video). 2008 Slow Heat in a Texas Town (Video) (as Joe Gage). 2005 Alabama Takedown (Video). . 2004 Mens Room: Bakersfield Station (Video). 2002 Closed Set: The New Crew (Video).  2001 Tulsa County Line (Video). 1989 She's Back. 1988 The Occultist. 1987 Riot on 42nd St. 1987 Mutant Hunt (Video). 1986 Breeders. 1986 Robot Holocaust. 1986 Bad Girls Dormitory. 1985 ...In the Name of Leather. 1985 Orange Hanky Left. 1984 Closed Set 2. 1982 Heatstroke. 1982 501. 1981 Cellblock #9. 1981 Handsome. 1981 Oil Rig #99. 1981 Red Ball Express. 1980 Closed Set. 1979 Los Angeles Tool and Die. 1978 El Paso Wrecking Corp. 1976 Le secret des routiers. 1973 The Female Response.


Nanar Z des années 80 confectionné par un habitué du genre, Breeders fit les beaux jours de la Cinq lors de sa diffusion TV. A Manhattan, des filles sont retrouvés sauvagement violentées par un mystérieux individu. Un détective et une doctoresse s'associent pour enquêter. Ce qui les amènent à fréquenter une origine extra-terrestre ! Si le métrage risible se réduit à une compilation de séquences-chocs qui se suivent et se ressemblent, il distille néanmoins l'amusement grâce à la cocasserie involontaire qui en émane et à l'aspect gore d'FX sympas conçus par l'illustre Ed French. Son casting bovin plutôt inexpressif (mention spéciale au flic et à la doctoresse dénués de charisme dans leur fonction autoritaire !) rehaussant le ridicule des situations avec un sérieux inébranlable. Qui plus est, les dialogues scolaires involontairement décalés valent aussi bien leur pesant de cacahuètes par le biais de répliques percutantes à faire pâlir Tarantino ! On peut également apprécier le côté gentiment envoûtant de son score électro typique des eighties et se rincer l'oeil d'un défilé de nymphettes s'exhibant sans complexe dans leur plus simple appareil. 


A voir d'un oeil distrait, de préférence aviné. 

Bruno Matéï

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