lundi 1 août 2016

Mimic

                                                Photo empruntée sur Google, appartenant au site impawards.com

de Guillermo Del Toro. 1997. U.S.A. 1h45. Avec Mira Sorvino, Jeremy Northam, Alexander Goodwin, Giancarlo Giannini, Charles S. Dutton, Josh Brolin, Alix Koromzay.

Sortie salles France: 24 Septembre 1997. U.S: 22 Août 1997.

FILMOGRAPHIE: Guillermo Del Toro est un réalisateur, scénariste, romancier et producteur américain, né le 9 Octobre 1964 à Guadalajara (Jalisco, Mexique). 1993: Cronos. 1997: Mimic. 2001: l'Echine du Diable. 2002: Blade 2. 2004: Hellboy. 2006: Le Labyrinthe de Pan. 2008: Hellboy 2. 2013: Pacific Rim. 2015: Crimson Peak.


SYNOPSIS (Wikipedia): Une terrible épidémie transmise par des cafards ravage Manhattan, plusieurs milliers d'enfants sont contaminés et condamnés. Une action chimique étant impossible à cause de la résistance de ces insectes, le seul moyen est alors de trouver une arme biologique. Le seul espoir pour New York est de faire appel à une brillante entomologiste et généticienne : le Docteur Susan Tyler. Grâce à ses « judas » (insectes génétiquement modifiés), elle va pouvoir combattre et éradiquer ces cafards porteurs de la maladie. Trois ans passent et plus de maladie. Mais quelque chose de bien pire attend New-York. Un remède bien plus dévastateur que le mal.


Une excellente série B de film de monstre dont on reconnait bien là la pate gothique de Guillermo Del Toro auprès de savoir-faire technique, narratif, formel. On est surpris du jeu convaincant de Mira Sorvino avec sa bouille gentiment timorée, surtout lorsque celle-ci joue à contre-emploi une posture autrement héroïque lors de la seconde partie "survival". Photo et décors caverneux splendides, suspense bien géré, action homérique matinée de frissons, violence escarpée (n'importe qui peut trépasser, même auprès de bambins) et surtout des créatures cafardeuses absolument fascinantes dans leur condition génétiquement modifiée. 

Les +: Son thème écolo fustigeant les mutations génétiques.
           L'implication spontanée des comédiens soutenue par le minois candide de Mira Sorvino.
           La physionomie humaine des cafards mutants.
           Le sort dramatique de certains protagonistes
           Un rythme soutenu au gré d'une action horrifique émaillée d'agressions animales.

Les -: Des FX numériques parfois ratés mais dans l'ensemble rien de franchement répréhensible. 
           
*Bruno
23.10.23. 4èx

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire